Date De Naissance De Guillaume Farde
Date De Naissance De Guillaume Farde – Guillaume Farde a soutenu sa thèse en sciences de gestion le 30 juin 2014, ce qui lui a valu le titre de doctorat. À l’École d’affaires publiques de Sciences Po, il enseigne en tant que professeur affilié et est conseiller scientifique dans le domaine de la sécurité et de l’économie militaire.
Guillaume Farde est l’auteur de plusieurs ouvrages traitant de la défense et de la sécurité nationale. Le continuité de sécurité nationale, publié aux éditions Hermann en juin 2020, est la publication la plus récente du genre. Le budget du ministère de l’Intérieur, les efforts de réforme de la Préfecture de police de Paris ou encore les effets des manifestations violentes sur l’ordre public ne sont que quelques-uns des thèmes qu’il a abordés dans des ouvrages centrés sur la sécurité intérieure tant du point de vue institutionnel que politique.
perspective. Guillaume Farde a récemment mené des recherches sur la manière dont l’opinion publique influence les actes et les politiques des institutions de sécurité intérieure, notamment la police nationale, la gendarmerie, la police locale et les services de sécurité privés.
Enfin, Guillaume Farde est administrateur du fonds de dons de la Garde républicaine en plus d’être citoyen-réserviste de la Gendarmerie nationale et membre du conseil consultatif de l’EOGN. Ce (.pdf, 500 ko) est une liste des œuvres les plus importantes de Guillaume Farde.
QUESTIONS D’ÉTUDE
Questions d’administration, de finances, de sécurité nationale, de sécurité intérieure, d’application de la loi, d’émeutes et d’opinion publique. Le SIREN répertorie désormais GUILLAUME FARDE CONSEIL comme société par action simplifiée depuis 2016. Elle propose du conseil en gestion depuis son siège au code postal parisien 75013. Commentaires postés sur Societe.com
établissements
La société a eu le même administrateur et le même secrétaire depuis sa fondation le 26 avril 2022, et rien d’important ne lui est arrivé depuis. Guillaume FARDE dirige le show en tant que PDG de GUILLAUME FARDE CONSEIL. Scientifique consultant, Programme d’études de défense, Institut universitaire d’administration publique de Sciences Po
Guillaume Farde, titulaire d’un doctorat. Docteur en sciences de gestion, conseille le programme d’études de sécurité et de défense et donne un cours d’économie de la sécurité nationale et de la défense à l’École d’affaires publiques de Sciences Po. Il est l’auteur d’ouvrages sur la sécurité nationale, la sûreté intérieure et l’intelligence économique, et travaille comme consultant pour la chaîne de télévision française BFMTV.
Enfin, Guillaume Farde est administrateur du fonds de donation de la Garde républicaine et citoyen-réserviste à la Gendarmerie nationale. Guillaume Farde est consultant et maître de conférences à l’École des Affaires Publiques de Sciences Po, où il donne des cours sur la sécurité et la défense. Plusieurs publications et articles académiques sur la stratégie militaire, la sécurité nationale et l’intelligence économique sont son œuvre. Il est également en charge de la stratégie globale et de la communication de Risk&Co.
Après les attentats de 2015 en France, ces organisations se sont vu confier des compétences en matière de sécurité intérieure, auparavant considérées comme relevant de la compétence de l’État. L’importance des agents de sécurité communaux et privés dans la création d’un système global de sécurité a été réaffirmée avec la publication du rapport sur le continuum de sécurité Fauvergue-Thourot en septembre 20181.
S’appuyant sur l’article XII de la Déclaration française de l’homme et du citoyen, qui pose le principe de la primauté de l’autorité publique sur l’autorité privée, la jurisprudence constitutionnelle et administrative française a établi un cadre juridique protégeant le contrôle de l’État sur la sécurité intérieure en limitant les types de tâches qui peuvent être accomplies. peut être délégué à des entrepreneurs privés. En conséquence, il est bien établi qu’aucun citoyen privé ne peut se voir attribuer la capacité d’exercer les autorités policières, administratives ou judiciaires d’une nation.
Si les fonds de l’État étaient restés suffisants et que le budget n’avait connu aucun déséquilibre, le style de gestion du service public de sécurité n’aurait jamais été remis en question. Le monopole de l’État perd du terrain depuis un certain temps. La fin des années 1940 voit le début d’une large reconnaissance de la contribution des collectivités territoriales à la sécurité nationale à travers l’exécution de missions spécifiques.
Grâce aux efforts d’un législateur impayé, la police municipale a réussi à piéger ses premières victimes. Depuis le tournant du millénaire, le secteur de la sécurité privée a bénéficié d’une baisse de la fréquence des fusillades de masse signalées et d’une réduction correspondante des effectifs policiers et militaires.
L’État a donné une autorité de régulation aux entreprises de sécurité privées sans jamais les reconnaître comme des partenaires viables alors que l’importance numérique de leurs salariés présentait la difficulté simultanée de leur moralisation et de leur professionnalisation. Le succès de toute célébration publique culturelle, sportive ou festive depuis les attentats de 2015 est inextricablement lié à la présence de longue date d’agents de sécurité, de policiers municipaux et d’agents de sécurité privés.
Des tâches les plus complexes aux plus routinières, des menaces les plus globales aux menaces les plus locales, toutes les branches des forces armées, ainsi que les agents de sécurité privés, sont essentiels au maintien de la sécurité intérieure. L’externalisation des services de sécurité intérieure a dépassé le stade de l’accord de paix illusoire et est désormais devenue une nécessité pratique, malgré l’opposition initiale.
La France a une longue histoire de séparation entre l’État et l’autorité du marché. Le droit administratif est pour l’essentiel un système vertical, rectiligne, rigide et trop unilatéral. Les contrats étant des actes juridiques synallagmatiques, ils suscitent des inquiétudes chaque fois que les secteurs public et privé entrent dans une relation économique.
Ce serait une double profanation de la souveraineté de l’État, quelque chose qui n’a jamais été toléré en premier lieu, alors imaginez si le gouvernement faisait cela dans des domaines dits « réglementaires ». Certains ont fait valoir que le profit et la sécurité ne peuvent pas coexister. C’est pourquoi l’externalisation de la sécurité a longtemps été considérée comme discutable.
Contrairement à d’autres modèles, l’État français joue un rôle central en matière de sécurité intérieure. Les espaces publics et privés sont gardés par des policiers et des gendarmes. Ils se situent au sommet d’une hiérarchie de valeurs et ont accès à des connaissances spécialisées qui les distinguent des autres.
Ainsi, une hiérarchie est établie en traçant une série de cercles concentriques, avec les tâches les plus valorisées situées au centre (telles que les pouvoirs judiciaires et d’enquête, l’accès aux armes, etc.) et les tâches les moins valorisées situées à la périphérie (telles que retirer les articles illégaux de la circulation ou gérer des postes de sécurité statiques).
En conséquence, des sociétés de sécurité privées de niche et des forces de police locales ont émergé en France, à la périphérie de l’architecture de sécurité standard du pays. Ces agents étaient au départ méprisés car n’appartenant ni à la gendarmerie ni à la police nationale. Avant les attentats de janvier et novembre 2015, ils avaient connu des progrès lents mais réguliers qui les ont amenés à changer de catégorie et de symboles.
Le « continuum de la sécurité nationale », conçu par le Secrétariat général pour la défense en la sécurité nationale (SGDSN) fin 2016, est un axe le long duquel agents de sécurité privée, police municipale, police nationale, gendarmerie et militaires de tous pays trois branches sont appelées à travailler ensemble sur des tâches allant des moins aux plus sensibles et des plus locales aux plus internationales. Ce ne serait pas seulement permis ; elle s’appuierait sur une politique qui représente en réalité une rupture avec deux siècles de coutumes en France.
La lente réhabilitation des joueurs mineurs
Les responsabilités des policiers municipaux au titre des pouvoirs de police et de gendarmerie sont précisées à l’article L. 511-1 du code de la sécurité intérieure. Il n’existe aucun fondement à la nature et à la portée de leur mission autre que ceux qui garantissent le caractère unique et l’inviolabilité de la leur. A cette fin, les policiers municipaux exercent « les tâches relevant de la compétence du maire que celui-ci leur délègue en vue de maintenir l’ordre public et d’assurer la sécurité et la santé du public. »5.
Ils sont chargés de faire respecter les décisions de police du maire dans un territoire défini (comme la commune ou l’intercommunalité) à des fins préventives. Les policiers municipaux ont été symboliquement dévalorisés alors qu’ils étaient employés territorialement6. Pendant longtemps, les parcours professionnels ont été peu attractifs7 en raison d’évolutions inégales et du peu de possibilités de promotion interne.
À partir du début des années 2000, la demande croissante de sécurité sociale et la diminution des effectifs de policiers et de gendarmes entre 2005 et 2018 ont poussé les forces de police locales à se développer. Suite à cette extension, plusieurs enquêtes ont été menées sur leur statut juridique et sur les détails de leur intégration dans un réseau de sécurité basé sur les germes.
Alors que cette introspection ne faisait que commencer, la mort tragique d’Aurélie Fouquet en mai 2010 a précipité les revendications de l’ensemble des policiers municipaux. Certains maires soutiendront la fusion progressive des pouvoirs policiers aux niveaux municipal et fédéral. L’uniformisation des uniformes, de la formation et des parcours professionnels, ainsi que la délégation croissante de tâches, de responsabilités et de ressources autrefois réservées à la police et à la gendarmerie du pays, ont réévalué le parcours professionnel et l’ont rendu plus attrayant.
Parce qu’il savait qu’il pouvait s’appuyer sur une main-d’œuvre de plus en plus compétente, le gouvernement a pu accélérer rapidement le processus de sous-traitance de certaines de ses tâches à des entreprises privées, créant ainsi un cercle vertueux qui permettrait de réhabiliter une usine en seulement 15 ans.
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